Réduire les émissions durant la maintenance d'une raffinerie

Devant passer par un processus de révision et de maintenance significatif, un raffineur du centre du pays était préoccupé par l'augmentation de ses émissions durant cette période. Par le passé, du diesel avait été utilisé pour des révisions similaires mais les responsables de l'environnement au sein de l'entreprise souhaitaient explorer des alternatives en raison des niveaux élevés d'émissions inhérents au diesel.

Ils étaient aussi soucieux de la fiabilité de la puissance durant les applications de diminution de la contrainte thermique : un processus qui, une fois initié, ne devrait pas être interrompu du fait de l'impact du débit sur une multitude d'activités. Quel était le meilleur système d'alimentation pour respecter l'ensemble de ces impératifs ?

La raffinerie s'est montrée, pour commencer, intriguée par notre suggestion de passer au gaz naturel comme source de carburant puis, dans un second temps, enthousiaste lorsque nous avons fait remarquer son potentiel de combinaison de réduction des émissions et d'économies budgétaires.

Nous avons produit le plan complet de notre approche innovante et présenté les schémas nécessaires. Le client a validé le projet et nous avons alors lancé le remplacement des groupes électrogènes diesel par des groupes au gaz. Notre Système ARM (Aggreko Remote Monitoring) de surveillance à distance sert à assurer le suivi de l'installation durant toute la révision. Un service particulièrement vital durant le processus d'application de diminution de la contrainte thermique.

L'intégralité du projet s'est déroulée sans accroc. Les économies budgétaires et d'émissions réalisées ont donné pleine satisfaction au client.

Les groupes électrogènes au gaz naturel ont réduit les émissions de NOx (Oxyde d'azote) de 80%, une amélioration significative pour une raffinerie flirtant souvent avec la limite des niveaux d'émissions permis.

La raffinerie a économisé 250 000 USD en coûts de carburant tout en évitant les soucis logistiques inhérents aux livraisons fréquentes de diesel accompagnées de leurs risques de déversement. De plus, les groupes au gaz ont seulement nécessité un entretien tous les 30 jours. Une amélioration certaine par rapport aux groupes diesel nécessitant deux à trois fois plus d'interventions. Les temps d'entretien minimisés se sont traduits par des économies de coûts mais aussi par davantage de temps consacré aux tâches de maintenance et non à celles de support.